Fournir des matériaux responsables n'est qu'une partie de notre vision de l'économie circulaire. Avec nos partenaires, nous nous efforçons de créer des chaînes de valeur responsables. Cela implique d'améliorer l'étape de fin de vie de nos matériaux. Apprenez-en davantage sur ce parcours difficile, raconté avec passion par Jon Hutton, directeur de Prismm environmental.
Fournir des matériaux responsables n'est qu'une partie de notre vision de l'économie circulaire. Avec nos partenaires, nous nous efforçons de créer des chaînes de valeur responsables. Cela implique d'améliorer l'étape de fin de vie de nos matériaux. Apprenez-en davantage sur ce parcours difficile, raconté avec passion par Jon Hutton, directeur de Prismm environmental.
Prismm environnemental fait partie intégrante du manifeste d'Antalis. Nous cherchons à fournir et à offrir des solutions pour collecter et recycler les matériaux d'affichage et de PLV afin de contribuer à la performance environnementale d'Antalis et, dans une plus large mesure, à la responsabilisation de l'industrie. Notre partenariat découle de la recherche par Antalis de conseils sur la manière de traiter le problème le plus brûlant, à savoir la gestion des déchets. Pourquoi ? Tout simplement parce que changer le modèle de cette industrie graphique représente un grand défi.
Prismm environmental est un fournisseur de services de gestion des déchets et un consultant de confiance en matière de déchets pour Antalis et des associations, notamment la BPIF (The British Printing Industries Federation) et la FESPA (Federation of European Screen Printers Associations). Prismm environmental fait partie du groupe Reconomy qui s'efforce d'inspirer une pensée durable et de montrer la voie vers une économie circulaire dans de nombreux secteurs différents.
Tout d'abord, la question de la maturité. Aujourd'hui, on pense qu'être responsable, c'est surtout proposer des matériaux responsables. C'est vrai. Mais avec un tel éventail de matériaux, le risque que ces solutions finissent par être envoyées en décharge reste probable. En effet, les infrastructures de collecte et de recyclage sont encore limitées et dédiées à un petit nombre de ressources. Deuxièmement, les matériaux utilisés dans l'industrie sont divers. Les polymères, par exemple, fondent à des vitesses différentes.
Oui. Avant toute chose, nous devons tous comprendre qu'il s'agit d'un voyage. Aucun progrès ne peut être réalisé sans éducation. Il est essentiel de donner aux imprimeurs, aux utilisateurs finaux, aux détaillants et aux autres acteurs locaux les moyens de comprendre à quel point le recyclage est un défi. Pour surmonter le défi, il est vital d'apporter un peu de lumière sur le sujet. Savoir exactement que la responsabilité n'est pas est le meilleur moyen d'identifier des solutions qui changent la donne.
Pour cela, la collaboration est essentielle. Même si la concurrence est féroce, il est crucial pour l'industrie de travailler ensemble. Pourquoi ? Tout simplement parce que le changement climatique est un problème plus vaste que nous partageons tous.
Travailler ensemble permet à chacun de devenir plus responsable et plus efficace. C'est par une approche holistique que l'on peut concevoir des résultats positifs.
C'est important, car des solutions existent. Pour l'impression d'étiquettes, nous avons appliqué ces principes et sommes parvenus à trouver une solution sur mesure pour ce type spécifique de déchets. Notre travail consiste à déployer cette méthodologie pour tous les matériaux. Il s'agit de comprendre l'ensemble de la chaîne de valeur pour identifier des marchés finaux uniques. Cela prend du temps, mais une fois que l'on sait que l'on s'engage dans un parcours collaboratif de 5 ans, on peut tout à fait s'attendre au développement d'un cycle de vie responsable unique pour chaque matériau.